C'est quoi le crowdfunding ?

Logos des plateformes de crowdfunding et de financement participatif

Aussi appelé financement participatif, le crowdfunding permet de proposer au public (crowd en anglais) de financer votre projet (funding). En échange, la plupart des projets proposent des contreparties qui peuvent prendre la forme de goodies ou de préventes.

Comme beaucoup d'entre vous le savent, nous avons commencé l'aventure ANKORE via un financement participatif, aussi appelé crowdfunding.

Lancée en septembre 2021, cette campagne de financement nous a permis de vendre 1155 vêtements grâce à 690 contributeurs, nous plaçant parmi les plus gros projets crowdfunding de l'année.

Quasiment un an jour pour jour après ce lancement qui a acté la naissance de l'initiative, nous voulions revenir sur cette étape avec vous.

Crowdfunding Kézako ?

Concernant les lancement de marques de vêtements, les crowdfunding permettent au public d'acheter en avant-première des pièces qui ne sont pas encore produites.

Si la campagne est réussie, le montant récolté permet au créateur de pouvoir financer cette première collection.

Le grand public peut ainsi soutenir concrètement des projets et leur permettre d'exister, quand les banques et autres organismes classiques de financement n'auraient pas forcément pris le risque d'investir.

Gros avantage : si l'objectif fixé par le créateur n'est pas atteint, les contributeurs sont remboursés. En effet, les fonds ne sont pas virés au projet avant la fin de la campagne. C'est un gage de sécurité pour le public qui est assuré de ne pas dépenser d'argent pour un projet qui ne verra pas le jour.

La plateforme de crowdfunding se rémunère en prélevant un pourcentage sur votre levée de fond. Ce pourcentage permet à la plateforme de se rémunérer et également de financer l'intermédiaire bancaire qui garde les fonds en sécurité durant la campagne. En général, ces commissions s'élèvent à environ 8%.

L'objectif fixé par le créateur peut être en numéraire ou en nombre de précommandes. En clair, la campagne est réussie dès que x euros ont été récoltés ou que x nombre de préventes ont été vendues. Bien entendu, une fois le minimum atteint, la campagne ne s'arrête pas. Plus le montant récolté est important, plus le projet pourra grandir rapidement. C'est un point important sur lequel le grand public s'interroge souvent et il faut communiquer là-dessus au risque de perdre des soutiens potentiels !

Autrefois confidentielle, cette manière atypique de lancer son entreprise est de plus en plus appréciée et utilisée.

Et à raison, tant les avantages du crowdfunding sont nombreux :

  • Tester son idée de manière concrète. Le crowdfunding est une étude de marché grandeur nature. Si la campagne réussit, vous obtenez votre Proof Of Concept (POC), voire le tant recherché Product Market Fit. Ici il n'y a pas de filet : soit le public aime soit il n'aime pas. Au moins vous êtes fixé.
  • Créer une communauté active autour de votre projet et qui achètera peut-être votre produit une fois lancé. Le format du crowdfunding (landing page, durée limitée, présence sur un site avec d'autres projets) permet de faire de son lancement un évènement à part entière et de créer un vrai engouement, une émulation autour du projet. Chose impossible à reproduire sur son propre site pour un projet qui se lance.
  • Financer son projet sans emprunt bancaire ni perte de propriété dans l'entreprise. Souvent, les banques sont frileuses à investir dans des projets qui ne sont pas dans des domaines classiques. De l'autre côté, un créateur n'a pas forcément envie de réaliser une prise de participation et de perdre une partie de la propriété de dans son entreprise. Le crowdfunding est un peu l'hybride entre ses deux systèmes. Ce qui n'empêche pas de réaliser un emprunt bancaire par la suite pour booster sa croissance. Un crowdfunding réussit permet même souvent de faciliter l'obtention d'un prêt bancaire. Vous avez prouvé que votre projet était viable et avait trouvé son public, ça rassure les banques évidemment.

Vous êtes nombreux à vous interroger sur les campagnes de financement participatif. Peut-être même que certains d'entre vous ont une super idée et aimeraient se lancer mais hésitent encore ?

Beaucoup de créateurs d'entreprises à impact nous contactent à ce sujet et souhaitent avoir des retours d'expérience. C'est la raison pour laquelle nous avons décidé d'écrire cet article sur le crowdfunding.

Nous ne traiterons pas toute la partie autour de l'idée, du produit en lui-même et toutes les étapes préalables à la campagne de crowdfunding. C'est beaucoup trop vaste et ça dépend vraiment du domaine (nous fabriquons des vêtements, on aurait du mal à vous conseiller sur les flûtes à bec polyphoniques). Nous nous concentrerons donc uniquement sur la campagne en elle-même.

Et on commence directement dans le vif du sujet avec la partie la plus importante à nos yeux : la communauté.

Une communauté tu fédèreras

Fédérer. Définition : regrouper, rassembler plusieurs individus dans un même but pour un même objectif.

À ne pas confondre avec Roger, le joueur de tennis Suisse. Quoiqu'il aurait sans doute quelques conseils à nous donner en terme de communauté et d'engagement. Bref, on s'égare.

La communauté, c'est le plus important pour qu'un projet voit le jour. Vous aimez beaucoup votre idée, vous pensez sans doute qu'elle fera se lever les foules et c'est bien normal de penser cela. Si vous n'êtes pas persuadé du potentiel de votre projet, qui le sera ?

Mais avant de se lancer dans une campagne de financement participatif, il est vital de confronter son projet au public, de tester l'engouement avant de se lancer. 

Se lancer sur les réseaux sociaux

Facebook, Instagram, LinkedIn, Twitter, tous les réseaux sociaux sont bons pour commencer à construire son identité et présenter son projet au plus grand nombre.

Malheureusement, aujourd'hui, la concurrence est rude sur les réseaux sociaux. Pas de panique si vous n'avez pas 10 000 abonnés au bout de quelques semaines, chez ANKORE on n'en est encore loin et ça ne nous a pas empêché de réaliser une superbe campagne de crowdfunding.

Le plus important selon nous n'est pas le nombre d'abonnés mais plutôt le taux d'engagement. Beaucoup de jeunes marques ont beaucoup d'abonnés achetés à grand coup de publicité, mais quand on y regarde de plus près, l'engagement y est très faible. Beaucoup de marques avec plus de 10 000 abonnés ont moins d'engagement que nous, alors que nous avons quasiment 5 fois moins d'abonnés.

La raison : nos abonnés sont vraiment engagés et aiment véritablement l'initiative ANKORE car nous ne les avons pas acheté. Ils sont venus car ils aimaient le projet. Et ça change tout !

Donc pas de panique, soyez vous-même, expliquez votre initiative, acceptez les critiques autant que les compliments (peut-être même plus) et vous verrez que la majorité des gens sont infiniment gentils et bienveillants. C'est l'un des meilleurs enseignements que l'on a retiré de notre lancement, la bienveillance du public.

Après avoir étudié l'importance de la communauté autour du projet, on va se pencher sur un choix cornélien : le choix de la plateforme de crowdfunding.

Une plateforme de crowdfunding tu choisiras

Ulule, KissKissBankBank, Kickstarter, Ekosea, Kengo, les plateformes de financement participatif sont nombreuses. Chacune a ses avantages et ses inconvénients. Un choix important à prendre en fonction de son type de projet et des résultats espérés.

I. Kickstarter : le pionnier

Créée en 2009, la plateforme américaine de financement participatif Kickstarter fait figure de précurseur.

Logiquement, c'est aussi le leader mondial du crowdfunding et la plateforme la plus lucrative. Depuis sa création en 2009, elle a récolté plus de 6 milliards de dollars. Kickstarter, c'est aussi 20 millions de contributeurs dont 7 millions qui ont soutenu plusieurs projets. Et un total de 75 millions de contributions. Démesure.

Comme nous vous l'avons dit, chaque plateforme de financement participatif est spécialisée dans certains domaines.

Pour sa part, Kickstarter est spécialisé dans la catégorie jeux vidéos et high tech. Il y a également beaucoup de projets dans les films et vidéos et la musique. Ces catégories représentent à elles seules la moitié des levées de fonds de Kickstarter.

Mais la plateforme héberge également plein d'autres domaines, 13 au total.

Le public est majoritairement anglo-saxon mais de plus en plus de francophones viennent y faire un tour.

II. Ulule et Kisskissbankbank : les leaders français

Kisskissbankbank

La plateforme KissKissBankBank est née en 2009. À l'origine, elle était spécialisée dans les projets créatifs et musicaux. L'année suivante, elle s'ouvre à d'autres domaines pour viser un public plus large.

Très rapidement, la plateforme française connaît une croissance importante. En 2011, c'était 420 projets pour 185 000 euros de dons. 4 ans plus tard, c'est 6600 projets pour 17 millions d'euros. Et rien que sur l'année 2020, ça représente 20 millions d'euros récoltés pour plus de 2000 projets soutenus.

Ulule

Créé en 2010, soit un an après KissKissBankBank, Ulule est aujourd'hui passé devant son ainé et considéré comme le leader européen du financement participatif. Dès sa première année d'activité, les projets présent sur la plateforme ont récolté plus d'un million d'euros.

En 2020, l'année de notre campagne de crowdfunding, l'ensemble des projets présents sur Ulule ont récolté plus de 35 millions d'euros, pour 5400 projets soutenus. On est heureux d'avoir fait partie de cette année record.

Si les deux plateformes sont généralistes, il y a quelques spécialités qui se dessinent. Chez KissKissBankBank, les domaine les plus représentés sont la musique, le spectacle vivant et les films et vidéos. Chez Ulule, c'est la musique, le solidaire et la citoyenneté et enfin les films et vidéos. Quelques particularités mais beaucoup de ressemblances donc.

Honnêtement, c'est très difficile de choisir entre ces deux plateformes de financement participatif.

Pour affiner votre choix, vous pouvez regarder les partenariats des deux plateformes selon les domaines. En effet, chacun a noué des relations avec de grands groupes (Aigle, Veolia, etc.) qui aident les créateurs sélectionnés dans leur campagne de crowdfunding.

III. Ekosea : la plateforme dédiée à l'océan et à l'environnement

Lancée en 2015, Ekosea est spécialisée dans les projets de crowdfunding ayant un lien avec l'océan et l'environnement. Beaucoup de projets maritimes assez techniques. À creuser si votre projet rentre dans ces critères.

Mise à jour : fin 2021, la plateforme Ekosea a malheureusement fermée ses portes.

IV. Kengo : la plateforme de crowdfunding bretonne

En tant que bretons, on ne pouvait pas passer à côté de Kengo, la plateforme bretonne de financement participatif. Une majorité de projets locaux y sont représentés, dans la musique, la culture et bien d'autres domaines.

V. Quelle plateforme de crowdfunding choisir ?

Vous l'aurez compris, si votre projet a une dimension nationale et peut plaire au plus grand nombre, nous vous conseillerons les trois premières plateformes, à savoir Kickstarter, Ulule ou KissKissBankBank. Ensuite, c'est à vous de voir selon le domaine de votre projet et les spécialités des plateformes.

Attention, si le choix de la plateforme de crowdfunding est important, c'est surtout votre projet et votre préparation qui sont essentiels. C'est vous qui amènerez la majorité du flux d'internautes vers votre page de campagne et non la plateforme. D'où l'importance de la communauté que nous avons évoqué juste avant.

Des prix réduits tu accorderas

Pour vous préparer au mieux, vous pouvez regarder les autres campagnes de crowdfunding. L'un des points communs de toute ces campagnes : les tarifs réduits accordés aux contributeurs durant la durée du crowdfunding.

Et c'est bien normal : le public accepte de vous aider à financer votre projet en vous commandant des produits qui ne sont pas encore fabriqués (bien souvent vous n'aurez que les prototypes à ce stade). Les contributeurs vont donc devoir attendre un certain temps, souvent plusieurs mois, avant de recevoir leurs produits. Il est donc logique de leur accorder une remise par rapport aux clients futurs qui auront accès aux produits sans attendre.

Selon le domaine de votre projet, vous accorderez une remise plus ou moins importante. Par exemple, dans les cosmétiques, où les marges sont très élevées, les taux de remises sont souvent très importants. Dans le vêtement, on est souvent sur des remises entre 10 et 30%.

Personnellement, nous avons appliqué des remises de l'ordre de 25% pour le crowdfunding Ankore.

Partout tu seras

On vous prévient par avance, une campagne de crowdfunding c'est un sprint + un marathon.

Un sprint car vous devez être performant dès les premiers jours. Si vous voulez casser la baraque, vous devez être parmi les plus gros projets du moment dès que votre campagne commence. Sinon, c'est très dur de revenir.

Mais c'est également un marathon car une campagne souvent, c'est assez long. Un mois minimum et deux mois maximum. La plupart des projets durent 5 à 6 semaines. Pour Ankore nous avions choisi 5 semaines. Et 5 semaines, c'est à la fois très court et très long.

Très court les premiers jours, car votre premier cercle commence à vous soutenir, vous devez communiquer sur tous les réseaux en même temps. Et tout ça avec un nombre réduit de personnes impliquées sur le projet. Parfois seul (ça doit être très dur), souvent deux ou trois associés (nous sommes deux chez Ankore).

Et parfois plus, pour les marques installées qui décident de lancer une campagne de crowdfunding pour booster leur actualité, ou pour aider le lancement d'un nouveau produit, mais ça reste assez rare. À ce moment là, c'est beaucoup plus facile. Durant notre campagne, nous avons effectué des collaborations avec des plus grosses marques. Ça se voyait directement que leur fonctionnement était différent du nôtre, et c'est bien normal. Ça permet de voir comment ça se passe dans des entreprises avec quatre ou cinq années d'existence et c'est super formateur. Nous y reviendrons.

5 semaines, ça peut aussi paraître très long quand on arrive dans le fameux ventre mou de la campagne. Là, c'est plus compliqué et il faut avoir le moral.

Le ventre mou tu éviteras

Le ventre mou, c'est la période qui arrive inévitablement après les premiers jours de folie. Vos premier et second cercles ont fait le travail, toute la famille et les amis ont participé. Mais cette période ne dure pas longtemps. Maintenant il faut fédérer tout le reste, les gens qui ne vous connaissent pas personnellement. Et c'est beaucoup plus difficile.

Pour cela, les médias sont vos armes. Si vous arrivez à intéresser des journaux, des sites spécialisés dans vos domaines, des radios voire la télévision, ça va vous permettre d'augmenter votre visibilité de manière exponentielle.

Et la visibilité, c'est le nerf de la guerre.

Plusieurs agences de relations presse vont sans doute vous proposer leurs services pour doper votre visibilité. Personnellement, nous avons tout fait nous-même, en contactant directement les médias. C'est beaucoup de travail pour peu de réponses positives (les médias sont très sollicités par des centaines de projets de crowdfunding chaque année) mais au moins ça ne coûte pas un bras. Là encore, à vous de voir selon votre budget.

Bien évidemment, vous avez également la possibilité de dépenser un peu d'argent dans la publicité. C'est assez technique et ça ne donne pas forcément toujours les résultats escomptés. À utiliser avec parcimonie, ne dépensez pas tout votre budget là-dedans !

C'est vraiment pendant cette période de ventre mou que vous allez être tentés de dépenser votre budget pour en sortir et redynamiser votre campagne de crowdfunding. Si certaines stratégies peuvent s'avérer payantes, attention aux escrocs.

Nous ne citerons pas d'entreprises en particulier mais nous-même, nous avons été victimes de personnes peu scrupuleuses qui nous ont fait voir monts et merveilles contre rémunération. Et pourtant nous sommes très attentifs.

Augmentation de votre réseau, experts en publicité Facebook, Instagram et j'en passe, il y a tout un écosystème qui s'est créé pour "aider" les jeunes créateurs dans leur crowdfunding. Il y a un adage qu'on adore tellement il est véridique : "trop beau pour être vrai". Personnellement, ce genre de service ne nous a servi à rien et nous avons rapidement stoppé l'essai. La plupart du temps, vous ne pourrez compter que sur vous-même. Et ce sera malheureusement vrai durant toute votre vie d'entrepreneur.

Attention, nous n'affirmons pas que tous les intermédiaires sont escrocs ou malveillants (on ne les connait pas tous) mais on vous conseille de faire attention. Trop de projets épuisent leur budget rapidement de cette façon.

Des partenariats tu organiseras

Pour créer de l'actualité, surprendre votre communauté et vous créer un réseau, la meilleure stratégie consiste à créer des partenariats avec d'autres marques présentes sur la même plateforme de crowdfunding que vous.

Concrètement, il s'agit de mettre en place un concours ou un autre évènement temporaire (sur une journée souvent) avec un autre projet, si possible dans un autre domaine que le vôtre. L'avantage : faire connaître chaque projet à l'autre communauté. Un partage de visibilité gagnant-gagnant qui plaît au public en général.

En boulet de canon tu finiras

Si le début d'une campagne est important, la fin l'est tout autant.

Beaucoup de créateurs ont tendance à mettre des durées de campagne élevées (certaines durent deux mois) par peur de ne pas atteindre leur objectif. Ils souhaitent ainsi se laisser du temps pour faire décoller le crowdfunding. Mais en fait, plus la durée est longue, plus l'audience va se lasser et risque d'oublier le projet.

Au contraire, il est conseillé de limiter la durée. En résumé, mieux vaut une campagne courte et dynamique !

À la fin, il faudra beaucoup communiquer pour que toutes les personnes qui ont vu et apprécié votre projet participent à temps. Et l'air de rien, ça peut représenter beaucoup de personnes. Pour notre crowdfunding Ankore, il y a eu au moins 200 commandes supplémentaires sur les trois derniers jours.

Enfin tu te reposeras (mais pas trop)

Si vous avez bien préparé votre campagne de crowdfunding, tout donné, communiqué chaque jour, vous DEVEZ être épuisé à la fin de la campagne.

Si vous n'êtes pas fatigué, soit vous n'en avez pas fait assez, soit vous êtes une bête de campagne (et dans ce cas, félicitations, on vous kiffe).

On vous le répète, une campagne de financement participatif, c'est énormément de travail avant et pendant. Il faut être prêt et préparé à cette surcharge de boulot. De l'extérieur ça parait simple mais c'est vraiment un exercice à part.

Il vaut mieux se coucher tôt, bien dormir pour être en super forme chaque matin. Et une fois qu'on a trouvé le rythme, ça devient naturel.

À tel point qu'une fois la campagne terminée, on a eu un peu de mal à redescendre. La fin de campagne est souvent euphorique quand on voit qu'on est en passe d'atteindre beaucoup plus que prévu. Dès le lendemain, nous n'avions soudain plus grand chose à faire d'immédiat. La campagne était terminée, avec un succès que nous n'osions même pas espérer avant.

Et ça fait très bizarre. Mais rassurez-vous, le repos sera de courte durée !

Le plus dur il te restera

Une fois la campagne terminée, il faut se focaliser sur la production et les livraisons. Si vous avez bien géré, vous avez anticipé cette partie et êtes déjà en avance.

Vous l'aurez compris, une fois la campagne de crowdfunding terminée, c'est le vrai début de l'aventure qui commence. Le projet est né, maintenant il faut le concrétiser et livrer tous vos super contributeurs !

Nous ferons sûrement un article bientôt sur cette partie.

On espère que vous avez apprécié cet article centré sur la campagne de crowdfunding. À bientôt !


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